Vous le savez certainement, les offres de forfaits de téléphonie mobile se résument à seulement quelques opérateurs, dont trois énormes firmes en ressortent : SFR©, Orange© et Bouygues Télécom©. La nouvelle qui va suiffre n'en est pas moins surprenante .

La nouvelle vient de sortir, le célèbre fournisseur d'accès internet Free© se lance dans le projet pharaonique de concurrencer les trois opérateurs de téléphonie mobile que vous pouvez trouver dans le commerce. Il faut savoir que ces trois sociétés (Orange, SFR et Bouygues) ont eu droit à des aides financières importantes de la part de l'État (Nicolas Sarkozy entretient même des relations amicales avec le patron de Bouygues Télécom) et qu'elles ont voulu par le passé empêcher Free de se lancer dans ce projet.

Ils n'en sont pourtant pas restés là : ils veulent se lancer en promettant d'économiser «1.000 euros par foyer sur les communications téléphoniques». Cela réduirait ainsi la dépense mensuelle de consommation téléphonique mobile «jusqu'à 4.50€».
Si jamais Free arrive à concrétiser ses promesses, ils feront un bon phénoménal dans l'univers de la téléphonie mobile, prométtant aux autres opérateurs français une concurrence énorme, qui, de surcroit, ne bénéficierait pas de l'aide de l'Etat... Bref, un projet colossal que veux mener cette firme Française.

Malheureusement, les opérateurs actuels se forcent à contrer cette concurrence en demandant au président de la république de refuser le dossier donnant l'autorisation à free de monter son propre réseau de troisième génération. Une chose qui n'est pourtant pas tolérable dans un pays comme le notre.
C'est pourquoi, il existe une pétition que l'on peut signer gratuitement afin de montrer que l'on soutient cette initiative.

Je suis intimement convaincu que si Free réussit, il sera le premier acteur de la concurrence en matière de téléphonie mobile, ce qui permettra par la même occasion aux autres opérateurs de baisser leur prix !

Go Free, go !

Exceptionnelement, je dépose cet article sous licence Creative Commons en vous autorisant à le partager (commercialement ou pas, modifié ou pas) afin de faire le plus de bruit possible ! La seule contrainte conciste à en citer la source : |-LeNnY-| Linux

Le gros boum pour l'iPhone...
Un boum encore plus flagrant pour la nouvelle version de l'iPhone : iPhone 3G+...

Une telle publicité pour un produit aussi fantastique, car oui, il EST fantastique, mais voilà, la polémique grandit.
Vous aurez sans doute remarqué les publicités vantant les mérites de l'iPhone, ses possibilités, notamment les images d'un magnifique téléphone naviguant sur internet : entre Le monde.fr et Youtube, affichant cette vidéo du chien sur un skate...

Oui ben apparemment Youtube on peut pas... Pourquoi ? D'après les polémiques, la nouvelle version de l'iPhone ne supporte pas Flash. Or, Flash c'est en quelque sorte le moteur du site. Je résume vite fait : sans flash on ne peut pas regarder des vidéos sous Youtube.

De plus, le fournisseur officiel Français Orange n'a pas donné de résultats satisfaisants sur les débits de l'internet interne du téléphone de la marque à la pomme.

J'avouerai qu'il est joli, plutot bien fichu, très réactif, léger, avec beaucoup de fonctionnalités, même si ces dernieres sont bridées par la marque. En effet, il faut apparemment payer les applications que l'on utilise sur l'AppleStore... Pas de commentaires.

Mais la polémique se fait aussi d'un autre coté ! Greenpeace a en effet dévoilé que l'iphone contenait des produits toxiques comme "des agents ignifuges bromés, dans l’antenne, et des phtalates toxiques (interdits dans les jouets en Europe) dans les écouteurs de l’Iphone"...

Alors, l'iPhone est-il aussi formidable qu'on le croit ?

Liens :

• Le constat de Greenpeace
• Orange reconnait avoir bridé l'iPhone
• Outre-Atlantique, le problème se pose aussi

Il m'arrive par moments une certaine envie d'aller voir mes statsperso de free.

Il m'arrive de ce fait, d'aller voir les stats de mon site web en détails pour le mois d'Aout, et de regarder attentivement les différentes rubriques s'offrant à moi : Statistiques journalières, Statistiques horaires, URLs, Pages d'entrée, Pages de sortie, Sites, Référents, Mots-clés, puis Navigateurs et Pays. Autant de données vachement utiles pour en savoir plus sur ces chers visiteurs que vous êtes .

Les parties que je trouve les plus utiles sont surtout les Navigateurs et les Mots-Clés. Pour ce merveilleux mois d'Aout, j'ai décidé d'inspecter un petit peu (juste par curiosité rassurez-vous je ne suis pas un escroc) les mots-clés que saisissaient les visiteurs avant de finalement tomber sur |-LeNnY-| Linux.

Je tombe donc sur des mots clés bien bénins : "linux", "lenny", "crypt" (?), "framabéarn", "le linutop ça vous dit quelque chose" (ce doit être un connaisseur ).

Je continue donc à parcourir cette liste de mots-clés quand soudain je tombe sur les mots clés suivants : "espionner grâce à son eeepc". Là j'ai envie de dire "nan messieur (ou madame ), mon site n'explique pas comment hacker un réseau internet, encore moins avec un eeePC"...

Je me demande bien, franchement, qui peut tapper ce genre de mots-clés, et je me questionne encore plus sur le fait que, via ces mots-clés, |-LeNnY-| Linux ait pu être listé...

La question cruciale évidemment, est déjà de savoir s'il est envisageable de pirater la moindre chose sur un eeePC (excepté l'eeePC lui même bien sûr ). Pour s'en rendre sûr je conseillerais plutôt cet internaute à visiter le channel irc #eeepc-wifi-hackers

Non mais je vous jure des fois on trouve de ces trucs...

Il n'est pas dans mes habitudes de faire des articles sur la société mégalopolaire, encore moins de vanter ses mérites, mais j'en convient que là... Ils ont fait fort.

L'université de Washington s'est liée avec la firme Microsoft© pour élaborer un nouveau projet, révolutionnaire en soi, qui n'en est pas moins fantastique, sortant tout droit d'un film de science fiction Hollywoodien.

De quoi s'agit-il ? D'un naviguateur d'images. Vous n'allez sûrement pas me croire si je vous dit que, depuis votre bureau, depuis votre fauteuil, bien installé là, vous pouvez rentrer dans le panthéon d'Athènes, pénétrer au coeur de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, contempler la statue de la liberté...

Je me doute bien que vous allez me poser la question suivante : Comment ça marche ?.
Il me semble (car je ne suis pas expert en la matière, je constate juste ) que ça fonctionne grâce à toutes les images récoltées partout sur le web. Chaque image est analysée et correspond à un emplacement précis sur une scène précise. Par exemple, vous prenez une photo avec votre appareil numérique, de la tour Eiffel, vous la déposez sur ce logiciel, d'autres peronnes prennent d'autres photos de la tour Eiffel, mais à des endroits différents, des conditions différentes.
Le logiciel analyse donc ces images et les classe soigneusement, du plus près au plus loin, d'Est en Ouest... Mais, il me semble qu'une vidéo en dirait plus long !

Épatant vous ne trouvez pas ? J'immagine bien évidemment que ces lieux comme ceux montrés sur la vidéo doivent être assez limité, car vous pensez bien qu'analyser tout ça doit demander un boulot fénoménal. En tout cas j'admire cette prouesse technologique, en anticipant évidemment ce petit bémol... Il faut se rendre à l'évidence : il ne sera sans doute pas libre...

J'immagine quand même que ce logiciel, en plus de ne pas être libre, il va bien falloir sortir le porte monnaie quelque part ! (Ou alors s'il sort en téléchargement gratuit, Windows Seven se vendra 550€ )

Quel sera le prix de ce petit bijoux ? ...

Étant musicien et linuxien à plein temps , je m'intérresse beaucoup (pour ne pas dire énormément) à la culture libre, et à cet état d'esprit.

J'ai en effet constaté que, au delà de l'esprit libre en parlant des logiciels (comme GNU/Linux), il existait une telle mentalité au sein de la culture.

Qu'est ce que la musique libre ?

Tout d'abord, comme les logiciels libres, je vous demanderai de ne pas confondre liberté avec gratuité. En effet, il existe des logicels libres payants, tout comme il peut exister des logiciels propriétaires gratuits. Tentez donc de comprendre ce point là.

La musique libre est avant tout un état d'esprit, et une manière de fonctionner différente de celle que l'on connait de l'industrie du disque. En effet, si vous êtes un artiste, un interprête, un chanteur, un comédien, un peintre... et que vous faites des créations artistiques, des compositions musicales etc... viendra tôt ou tard le moment ou vous vous poserez la question suivante :

Garder sa musique pour soi ou la publier ?

Avec les moyens d'aujourd'hui tels qu'internet, difficile de ne pas choisir l'option "Garder sa musique pour soi". Ben oui, quel intérêt y a-t-il de garder sa musique dans un coffre fort ?

Publier ses oeuvres, d'accord. Mais comment ? J'immagine bien que vous n'avez pas envie qu'un individu s'approprie votre/vos oeuvre(s) pour en faire quelconque utilisation commerciale, ou modification sans avoir eu votre accord, je me trompe ?
Et c'est ici qu'interviennent les licences libres : alors que certaines licences (comme le "Copyright") sont payantes et vous attribuent tous les droits sur votre oeuvre, en vous "enfermant" (c'est à dire qu'à partir du moment ou vous signez, vous avez l'obligation de leur remettre toute oeuvre que vous crééz), d'autres licences dites libres ne vous attribuent pas tous les droits, mais quelques uns.

Je m'explique : si vous mettez vos oeuvres sous licence libre (nous en verrons quelques exemples plus tard), vous êtes libre. C'est à dire que vous pouvez choisir ce qui est bon pour vous et ce qui est bon pour l'auditeur. La licence vous permet ainsi de choisir vos droits, tout en accordant quelques-uns à l'auditeur. C'est ainsi que la plupart du temps la musique libre est en téléchargement légal sur internet.
De plus, une licence libre vous laisse le droit de faire ce que vous voulez. Tandis qu'une licence propriétaire vous demandera de verser un certain pourcentage sur vos disques vendus, de leur demander la permission pour faire vos concerts et en toucher une petite prime, les licences libres n'en feront rien.

Concrètement, comment protéger ses oeuvres ?

Le moyen le plus répandu pour protéger ses oeuvres est de les mettre toutes dans une enveloppe, que l'on envoie en recommandé à soi-même, le tampon de la poste faisant foi de l'antériorité de l'oeuvre ou des oeuvres si jamais vous avez un problème avec la justice.
Un article très bien expliqué en détail ici et une explication détaillée sur la protection des oeuvres là par l'avocate Murielle-Isabelle Cahen.

Quel est l'intérêt d'une licence libre ?

Les intérêts sont multiples : pour commencer, la plupart du temps, la licence libre est gratuite et assure une bonne protection pour les artistes. Ensuite, elle permet, pour l'artiste, de se faire connaitre très facilement du fait de la libre distribution avec l'aide d'Internet, le téléchargement gratuit peut être effectivement un moyen de se faire connaitre. Elle permet également à l'auditeur d'écouter de la musique pour la plupart du temps gratuite. Enfin, l'artiste n'a pas de délais pour sortir un album, en opposition aux grandes maisons de disques qui demandent une certaine période entre deux albums...

Comment les artistes seront-ils rémunérés ?

Dans la culture libre, la rémunération est, pour la plupart du temps, faite grâce aux dons. Cependant, le but d'un artiste "libre" ne devrait pas être la rémunération. De plus, une étude du psychologue Alfie Kohn a prouvé que :

Quelques exemples de licences libres :

Chacun y trouvera ses intérêts avec les licences libres. Je vous en recense quelques unes par ici, les plus connues en somme .

Creative Commons
Cette licence est vraiment bien car elle vous permet de choisir clairement quels seront vos droits.

Art Libre

La licence Art Libre est bien connue et très répandue : c'est la licence "Copyleft" en opposition à Copyright.
GNU GPL

A la base prévue pour les logiciels, la licence GNU est reconnue mondialement. Traduction en francais ici

Deux sites proposant des artistes libres :

Dogmazic
Cette communauté passionnée de musique permet aux artistes indépendants de se faire connaitre grâce aux licences libres. Elle a même déposé une Automazic absolument géniale : une borne de téléchargement gratuite et légale !

Jamendo
Plus de 11.100 albums, ça laisse pas rêveur ? Ce site propose uniquement des artistes sous licence Creative Commons (décrite plus haut).

Vous êtes musicien ? Ça tombe bien, moi aussi sous GNU/Linux

Je vais tenter d'exprimer tout haut ce que vous pensez tout bas en essayant de faire de la musique sous Linux. "Pourquoi il me demande de lancer Jack ?!" ; "J'ai pas de son !" ; "Pourquoi c'est plus compliqué que sous Windows© ?!" avant de vous acharner finalement sur votre clavier (qui plus est n'y est pour rien ).

Bien, détendez-vous, prenez un bon petit thé (pas de café ça excite), on va commencer notre ascension. Au départ on va commencer simplement par dire que Linux, comparé à d'autres systèmes d'exploitations, dispose de plusieurs "serveurs de sons". Eh oui, après le serveur graphique (X) voici les serveurs de sons, plus communément nommés alsa, oss ou même pulseaudio si vous vous baladez avec votre Héron.
Le serveur OSS ne sais jouer qu'un son à la fois. Ça veut dire quoi ? Ca veut dire que si vous écoutez votre musique et que, sans faire exprès vous rentrez sur un site contenant une musique et que vous avez oublié de couper la musique que vous étiez en train d'écouter... Ben là OSS il aime pas trop.
Le serveur ALSA est au top. Lui par contre il sait jouer plusieurs sons à la fois. Y'a pas de problème.

Règle n°1 : Quand on vous demande de lancer "Jack", pas la peine de balancer votre câble guitare.

On va simplifier les choses en disant qu'il vous faut un logiciel qui permette de dire à telle entrée (guitare, micro, MIDI, ...) ou est-ce qu'elle doit aller dans votre ordinateur. Immaginez par exemple que vous branchiez votre guitare pour un enregistrement. Il va vous falloir un petit logiciel capable de guider la guitare non pas vers l'enceinte comme elle en avait l'habitude, mais d'abord dans le logiciel, puis dans les enceintes.
Ben ce logiciel il s'appelle Jack. Immaginez donc que ce logiciel soit réellement un jack : on va faire coïncider telle entrée à telle sortie, mais nous n'en sommes pour l'instant pas là, puisque nous devons passer par l'étape d'installation.

Règle n°2 : Pourquoi se prendre la tête quand des programmeurs ont tout prévu ?

Pour l'installation de Jack, vous avez deux possibilités : L'ultra-simple, et la complexe.
Nous allons décrire la méthode simple : installer le paquet ubuntustudio-audio

sudo apt-get install ubuntustudio-audio
sudo apt-get install ubuntustudio-audio-plugins #si vous en avez pas assez !

Il y a également la possibilité (sous gutsy notamment) d'istaller directement une ubuntustudio alors pourquoi s'en priver ? Cependant, si vous installez le paquet ubuntustudio faites attention : il vous installe automatiquement un nouveau noyau "rt" (real time : temps réel). Vous aurez donc dans votre GRUB (ou LILO) au démarrage de votre ordinateur plus de choix : les "Généric" et les "RT".
Le noyau RT permet d'avoir le moins de perte de son dû au temps, il donne en effet la priorité à certains logiciels d'éditions musicales. Nous verrons lesquels utiliser plus tard.

Règle n°3 : Ne pas pirater Cubase, utiliser le plus de logiciels libres possible

Vous avez de la chance : Ubuntustudio est un logiciel libre, et Jack aussi ! Prochaine étape : les logiciels d'éditions musicales à découvrir (car ils sont tous installés avec le paquet ubuntustudio-audio). Ouvrez donc votre onglet "Applications" > "Son & Vidéo" vous allez voir le choix qui s'offre à vous
J'en connais quelques uns, je vous en fait donc part :

• Audacity : simple et efficace. Si vous installer les plugins dans ubuntustudio-audio-plugins il peut s'avérer redoutable.
• Rosegarden : Axé sur les instruments comme la guitare, très bon logiciel.
• Ardour : La puissance libre : je trouve personnellement que c'est un projet vraiment concurrent à Cubase.

Règle n°4 : Lancer Jack peut parfois s'avérer vital

A chaque fois que vous voulez faire de la musique, il va falloir lancer Jack (Applications > Son & Vidéo > Jack). Certains comme Ardour ne peuvent démarrer sans lui. D'autres ne le spécifient pas. D'ailleurs, si vous vous servez d'Audacity avec Jack, il va falloir configurer Audacity : Edition > Préférences > Périphérique lecture : Jack ; Périphérique Enregistrement : Jack.

Sous ce doux nom de "Wikia" se cache un moteur de recherche libre. Mais quand je dis libre, c'est libre ! . Pour comprendre comment ce moteur fonctionne (car il faut quand même comprendre comment il marche pour mieux pouvoir s'en servir) nous allons le comparer à un autre moteur, qui lui n'est pas libre, et se nomme Google.

GOOGLE tout d'abord (puisque tout le monde le connait si bien)

Lorsque vous lancez une "requête" google, c'est à dire lorsque vous entrez une série de mots-clés dans son moteur, et que vous appuyez sur le bouton magique, Google va, avec de puissants algorythmes mathématiques, relevez les mots clés que vous avez tappé et les comparer avec les mots-clés des sites webs qu'il aura auparavant indexés. Il vous affiche dans un ordre précis tous les sites susceptibles de vous intérrésser. Ces sites sont, bien entendu, ceux qui contiennent le plus le(s) mot(s)-clé(s) que vous avez tappé.
C'est bien, c'est génial même, c'est puissant. Mais notons tout de même que Google ne dévoile pas son algorythme. Remarquez, même s'il le dévoilait, il est tellement puissant que pas grand monde pourrait le comprendre. Par contre, il faut dire que Google ne se base QUE sur son bel algorythme...

WIKIA ensuite, dont le fonctionnement diffère (et surprend)

Le fonctionnement de Wikia, quant à lui, est complètement différent. Il ne se base sur aucun algorythme, il n'y a donc pas de classement des résultats par rapport à leur pertinence. C'est enfet l'utilisateur lui-même (et ce peut être n'importe qui) qui rajoute son site web.
Immaginez par exemple que vous tappiez les mots clés "Lenny linux" dans wikia. Immaginons que lenny.gratte64.free.fr n'apparaisse pas. Immaginons que vous connaissiez mon site, et que vous savez qu'il parle de linux, mais que vous ne le trouvez pas. Et bien il est possible de le rajouter vous même en un quart de secondes : à droite de la page on peut voir "Add to this result", vous n'avez plus qu'à rentrer l'url du site, puis cliquer sur "Ajouter" et le tour est joué, mon site apparaitra en premier.
Il faut noter que le moteur en est à un stade embryonnaire, et il faut reconnaitre qu'il est vraiment loin d'être parfait, il lui manque en effet un algorythme. Par exemple, si vous tappez "lenny linux home page", vous ne tomberez pas sur mon site, il faudra alors le rajouter etc...

Allons, si ça ne vous plait pas, on peut toujours se mettre d'accord sur un compromis (description ici) mais faut quand même avouer que l'idée est assez sympa, et sur une approche plus communautaire du web qu'on connait si bien

Vous ne l'avez peut-être pas remarqué, mais le site de framabéarn avec lequel nous avons un partenariat a changé d'addresse. Le site est donc maintenant déplacé à l'addresse suivante :

http://framabearn.tuxfamily.org

Remarquez aussi que si vous persistez à joindre edhelas.free.fr, vous vous trouverez devant une belle redirection de page. Et puis, entre nous, framabearn.tuxfamily.org est plus parlant vous ne trouvez pas ?

Il ne vous dit peut-être rien, et pourtant c'est l'acteur principal des smartphones dans le domaine du libre. Développé par OpenMoko, une société de matériel électronique, ce smartphone vous fait peut-être ressembler à un célèbre téléphone portable d'une marque à la pomme croquée.

Ressemblance ? Peut-être, mais à une différence près : il est libre. Comment ça "libre" ? Et bien vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec, chose que vous ne pouvez pas vous permettre avec l'iPhone.

Ce téléphone est en effet pourvu de quelques applications vous permettant de développer vous-même vos propres applications, logiciels, améliorations, de corriger les bugs que vous trouvez tout ça... Comment ? Vous n'êtes pas programmeur ? Vous êtes plutôt du genre "bricolo", ben voilà, vous pouvez tout démonter de A à Z, pour arriver au plus petit circuit imprimé, à l'intérieur même du Freerunner pour bidouiller je ne sais quoi je ne sais où, c'est votre problème .

Un petit aperçu de ce nouveau joujou tout beau !

Ce smartphone est disponible à partir de 340€ TTC, vous en trouverez plus sur le site officiel du projet.

Franchement, vous trouvez pas qu'il a la classe ?

Liens :

• Site officiel du projet
• On en parle ici
• LinuxFR en parle également
• Vidéo d'OpenMoko aux RMLL ! (36 minutes) au format ogg

Ça faisait une lune que le site n'avait pas eu de bon rafraichissement ! Eh là je dois dire que ça fait beaucoup de bien ! J'en profite donc pour tout remettre en ordre, et essayer de quand même faire passer le test W3C ! . Si jamais vous avez des remarques à faire, ou autres, n'hésitez pas à me contacter : lenny64@free.fr

J'ai passé beaucoup de temps à soigner le code source, c'est pourquoi j'ai désormais décidé de vous le montrer. Voici le code source de la page d'accueil : index.html et voici le code CSS : apparence.css. Je sais ça doit faire un peu cafouilli mais voilà, c'est moi .

Au fait, vous avez peut-être vu que, quand je ne trouve pas d'images convenables pour mes news, je me casse pas la tête, je met ça : , j'ai nommé cette image "hadopi" parce qu'enfet à la base il était fait pour cette news là .

Allez bye...